« On ne peut pas forcer le sommeil. Plus on essaie, plus on s’éveille, moins on dort », explique Roger Godbout, psychologue et directeur du Laboratoire et de la Clinique du sommeil au CIUSSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal et professeur de psychiatrie à l’Université de Montréal. Dans bien des cas, adopter de saines habitudes de vie et prendre conscience de ses propres besoins de sommeil suffisent à retrouver des nuits paisibles. Voici ce qu’il faut savoir.

La Presse

Cliquez ici pour accéder à l’intégral